Albus S. Potter
Sp
Messages : 316 Amours... : Adèle Pavlov. Mais chuuuut, ça ne se sait pas encore !
| Sujet: Enfin, il n'est pas accompagné. [ James S. Potter ] Dim 20 Nov - 22:10 | |
| Un nouveau week end avait pris fin, et moi j'étais plutôt de bonne humeur en cette jouréne de début de semaine. Allez savoir pourquoi. Enfin, sur moi, ce n'était jamais très flagrant lorsque j'étais de bonne humeur ou pas, mais ce qui comptait réellement dans ma tête, c'était que je l'étais. Extérieurement, je n'étais pas souriant, et comme d'habitude, j'étais seul. mais b on... pas grave ! Au contraire, c'était plutôt mieux. Moi et ma méfiance vis à vis fit que je ne voulais pas risquer de perdre ma bonne humeur avec le contact de quelque étranger à ma famille, d'ailleurs, je restai pas longtemps seul. Je venais de quitter la bibliothèque où j'avais été faire quelques recherches pour un travail que j'avais à faire en Botanique. Bon, le Professeur Londubat, Neville comme je l'appelais hors de Poudlard, n'était pas très exigeant, mais je n'étais pas du genre à faire les choses à moitié, surtout dans le monde du travail scolaire. Pour que mon père soit fier, il fallait que je me donne à fond dans mes études, et cela payait d'ailleurs. Tout le monde connaissait mes compétences et mes capacités, même si l'idée que tout le monde connaissait cela me donnait des frissons par très agréables. Pour en revenir à la situation présente ; je quittais donc la Bibliothèque, traversant le 1er étage jusqu'au escaliers. Je pensais à l'origine me diriger dans ma salle Commune jusqu'à l'heure du dîner où avec un peu de chance, j'y trouverais Scorpius, et on irait manger ensemble, en toute... relation positive entre nous. Au lieu de cela, une surprise plus sympathique vint à moi. J'étais tombé nez à nez avec mon Grand Frère que je n'avais pas vu sans compagnie de filles depuis un moment. J'en avais limité oublié à quel point il aimait m'embêter pour ne penser qu'au fait que ça faisait longtemps que je ne lui avais pas parlé. " James ! " lançai-je dans l'effet de surprise, car je mettais vraiment retrouver "nez à nez" avec lui ( les guillemets c'était bien pour dire que être nez à nez avec James, je devais vraiment grandir de plusieurs centimètres... lui n'avait pas hérité de la taille de notre père... ) J'eus un sourire qui montra, pour la première fois de la journée, à quel point j'étais de bon poil. Ce n'était pas étonnant. J'étais avec ma famille, la seule chose qui pourrait me rendre comme j'étais avec tous les autres, c'était bien une perspective que mon grand Frère reprenne très vite ses mauvaises habitudes avec moi. Ce que je ne préférais pas y penser maintenant, mais d'ailleurs... même dans cette perspective, je n'avais pas l'air aussi froid avec lui. | |
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