George Dupoteau

GEORGE DUPOTEAU ”

« Je n'aime pas les autres comme tout le monde, ce sont qu'une pure distraction dans ma vie.»

CRÉDIT - FICHE Acteur : Hugh Laurie

MA PRÉSENTATION Nom : Dupoteau Prénom : George Age : 45ans Date de Naissance : 9 mai 1975 Sang : Né-Moldu Baguette : Bois de Chêne, écailles de salamandre. 31cm. Assez souple pour une meilleure maîtrise des sorts, et augmenter la facilité d'utilisation en combat réel, mais sa taille ne lui permet pas d'avoir la rapidité. Profession : Professeur de Potions Ancienne Maison : Serdaigle MON CARACTÈRE ________ INTELLIGENT.IMMATURE.SOLITAIRE Je suis merveilleux ! Bon... pas si merveilleux que ça quand on me connait bien. Certes, je suis quelqu'un d'intelligent, même de très intelligent. Je fais sans arrêt preuve d'une logique implacable et d'un sens de la déduction hors du commun. Je suis même capable de lire les gens comme dans un livre ouvert. Pour finir, j'ai été un Serdaigle car le Choixpeau avait trouver une certaine sagesse dans mes actes et paroles dans le quotidien. Hm... peut-être parce que je suis capable de faire des métaphores pour parler de tout... Je n'en sais rien, mais très peu de gens sont du même avis que ce vieux chapeau. Lorsqu'on me connait mieux, on voit à quel point je suis encore qu'un grand enfant malgré mes 45ans, et que je me sers généralement de mon intelligence dans des buts plutôt immatures. Je ne suis pas quelqu'un de méchant, au contraire, mais considérant les gens qui m'entourent comme de simples distractions fait que je ne suis pas toujours très aimé. Pour finir, dois-je préciser que je joue systématiquement le narcissique ? Non... vous le verrez très bien plus tard.

Histoire ”

« Tu ne feras rien de ta vie George ! »

Né dans une famille de classe moyenne à Oxford, dans le Sud-Est de l'Angleterre, le futur petit George Dupoteau fut dès son plus jeune âge sujet des nombreuses disputes de ses parents, Henry Dupoteau et Jeanne Dupoteau, née Jeanne Mathieu.
Henry Dupoteau était un grand chef d'entreprise anglais. Il rencontra Jeanne Mathieu, lors d'un de ses voyages d'affaires en France. La jeune mademoiselle Mathieu était une serveuse, sans grande intérêt, dans un petit bar d'une petite rue de Paris. Ce qui plut à Henry dès le premier regard fut sa jeune et magnifique beauté. Malgré leurs 15 ans d'écart, elle accepta de quitter la France pour se marier avec le riche et séduisant homme d'affaire.
Le jour qui devait être le plus beau de la vie de cette nouvelle anglaise par mariage, devint le début de la difficulté. Ce fut à elle de choisir le prénom du petit garçon qu'elle avait mis au monde un certain 9 mai 1975. Elle l'appela George qui était le prénom de son défunt père. Elle pouvait le choisir elle-même parce qu'elle était bien la seule à vouloir de ce petit. Son grand chef d'entreprise de mari était bien trop occupé pour s'occuper de sa progéniture, qui gardait bien au chaud pour reprendre un jour son business.
George avait toujours connu, au plus loin pouvait aller sa mémoire, les disputes récurrentes de ses parents. Il sut très vite que sa venue au monde avait bouleversé les habitudes de son père, et qu'il lui en voulait énormément pour cela. Malgré son statut de mère au foyer, Jeanne tenait très souvent tête à son mari lorsqu'il parlait mal à son fils unique, d'où les nombreuses disputes.
Il était inutile de préciser que George préférait sa mère sur de nombreux points, et avait très vite abandonné son espoir de voir son père changer. Alors, contrairement aux autres enfants de son âge qui jouaient avec leur père respectifs au ballon ou autres jeux de garçons, George lui passait son temps à étudier. Détestant de plus en plus son père au fur à mesure qu'il grandissait, il savait qu'il fallait pour lui avoir le maximum de possibilité de choix pour son métier futur s'il voulait avoir une chance de ne pas à avoir à reprendre le business de son père. Ce fut sous la grande fierté de sa mère que George resta le meilleur de sa classe pendant toute sa scolarité de simple moldu.
Malheureusement, il était impossible qu'Henry soit un jour fier de son fils. Malgré ses notes bien supérieures aux autres enfants et cela de loin, George restait un garçon avec une grande répartie et aimant décoder ses semblables jusqu'au ridicule que ce soit ses camarades de classe ou bien ses professeurs. Un caractère qu'il avait appris à faire preuve toutes les fois où il se sentait menacé. Sûrement une habitude qu'il avait de se protéger des paroles blessantes de son père. Mais ce caractère, qu'il utilisait sur tout le monde sauf sur sa mère, lui valait de nombreuses punitions à l'école, et à la maison.
L'ignorance que faisait preuve Henry envers son fils devint, l'année des 9 ans de son fils, de la profonde honte. Un jour où la maison était en éclat par les hurlements d'Henry tout d'abord envers son fils, pour se tournant ensuite vers sa femme qui avait pris la défense de George, le jeune Dupoteau se prit d'une profonde colère en voyant son père frapper Jeanne d'une bonne et forte claque. Une fourchette de la cuisine s'était mis à se déplacer toute seule pour prendre la poursuite d'Henry, terrifié. Sous la peur et la honte d'avoir un monstre comme fils, la situation empira. George voyait sa mère pleurer de plus en plus souvent depuis ce jour, et Henry était devenu de plus en plus exigeant et rancunier envers son fils qu'il voulait voir hors de cette maison au plus vite. La seule bonne nouvelle était qu'il n'avait plus l'attention d'obliger George à reprendre son entreprise.

« Tu ne feras rien de ta vie George ! Un Sorcier ! Pff... Quelle histoire idiote ! »

Voilà les paroles de son père le jour des 11 ans de George. Il venait de recevoir une lettre plutôt étrange de la part d'une certaine école Poudlard, située en Écosse. D'après cette étrange lettre, il était inscrit dans cette école depuis sa naissance car il était un véritable Sorcier. George l'avait toujours su depuis qu'il avait fait preuve de magie pour la première fois, malheureusement, son père n'était pas d'accord. Jamais il n'irait dans cette école. Henry ne trouvait pas cette école ridicule ou bien idiote. Il avait juste peur de voir son fils plus puissant que lui et de le voir prendre le contrôle de sa vie et de son foyer
Heureusement pour lui, après avoir reçut des milliers et des milliers de lettres comme celle de son anniversaire, une femme frappa à sa porte.

« Je ne veux pas de vous chez moi ! »

Cette femme habillée d'une étrange façon portait le nom de Minerva McGonagall, et elle se disait professeur et directrice adjointe de Poudlard, l'école de sorcellerie qui harcelait son père depuis déjà deux mois.

« J'ai besoin de l'avis de votre femme. Un des deux parents suffit pour que le jeune George vienne avec moi. »

Encore une fois, la mère de George fit preuve de courage en défiant une nouvelle fois les décisions de son mari. Elle n'avait jamais voulu dire à son fils ce qu'il s'était passé lorsqu'il suivit la nommé Minerva McGonagall...
Après avoir acheté ses fournitures en sachant que la facture serait envoyé à ses parents, il vécut le reste du mois au Chaudron Baveur avant de prendre la direction de Poudlard dans le grand train à vapeur rouge et noir, le Poudlard Express.

« Serdaigle ! »

Il avait comprit qu'à moitié cette histoire de maisons, mais quand il sut que les Serdaigles étaient les plus intelligents, il en fut bien content, et savait qu'il était fait pour cette maison.
Il passa ses premières années à Poudlard avec brio au niveau scolaire, ce qui était beaucoup moins quant à son attitude. Certes, il était quelqu'un de calme, sérieux dans son travail, et comme l'avait dit le Choixpeau, il faisait parfois preuve d'une grande sagesse quand il aidait un camarade dans le besoin, ou bien lorsqu'il parlait d'un cours avec ses professeurs, mais beaucoup moins lorsqu'il se sentait menacé par l'un d'eux, ou bien quand il voulait s'amuser à sa façon très peu mature malgré qu'il grandissait. Il ne rentrait à Oxford que lors des vacances d'été, sachant que sa mère ne pouvait se résigner à se séparer de l'homme que lui servait de mari, mais au fond... peut-être que ça se passait beaucoup mieux depuis qu'il n'était plus à la maison ?
Lors de sa 5eme année, il apprit que le célèbre Harry Potter était à Poudlard, mais il s'en fichait. A cet âge, il était bien loin de ce combat entre le bien et le mal. De toute façon, en ce temps, la vie était plutôt calme de ce côté là. Ce fut ainsi qu'il n'eut que des notes Optimales à ses BUSEs.
Lorsqu'il finit sa scolarité à Poudlard avec la note Optimale à tous ses ASPICs, il décida de faire des études au Ministère de la Magie qui lui ouvrit ses portes en grand. Il ne savait pas vraiment ce qu'il voulait y faire, mais il se lassa très vite de ce travail de bureau, contrairement à un ancien camarade Gryffondor du nom de Percy Weasley qui était lui aussi étudiant au Ministère de la Magie et qui avait sérieusement pris la grosse tête. George aimait bien le taquiner pour distraire ses journées bien ennuyeuses.
Étonnement, il se maria quelques mois après ses 22 ans, avec une certaine Fidèle Danlechodron. Elle faisait elle aussi ses études au Ministère et tomba très vite sous le charme du séduisant et intelligent ancien Serdaigle. Elle avait deux ans de moins que lui, et était une sang pur. George ne sut jamais vraiment pourquoi il l'avait demandé en mariage... Sûrement pour voir ce que c'était...
Alors qu'il n'avait que 23ans, George fut obligé d'être en cavale, sans Fidèle qui n'avait rien à craindre. Depuis que Celui-Dont-On-Ne-Prononçait-Pas-Le-Nom avait infiltré le Ministère, les Né-Moldus n'était plus en sécurité, surtout là où il faisait ses études. Ce fut à Pré-Au-Lard qu'il trouva refuge, en faisant la connaissance d'un certain Abelforth Dumbledore, le frère du célèbre ancien Directeur de Poudlard, Albus Dumbledore, mort assassiné l'année d'avant. Par un passage secret, il se retrouva avec des anciens plus jeunes camarades de Poudlard, cachés eux aussi dans la Salle-Sur-Demande. Ce fut ainsi qu'il participa à la Grande Bataille contre le Mal, ou le Bien triompha par la mort de Celui-Dont-On-Ne-Prononçait-Pas-Le-Nom. Harry Potter, le soit-disant Élu dont il en avait rien à faire autrefois, avait de nouveau offert la paix au monde. Il avait, de son plein gré, serrer la main de ce garçon.

« Merci Harry. » avait-il dit avec un ton fort chaleureux dans sa voix.

Depuis cette bataille, il se sépara de sa femme - ce qui était prévisible - sans donner d'enfants, et décida de ne plus jamais revenir au Ministère. Il se proposa comme professeur à celle qui était venu le délivré de son père autrefois.

« Horace attends sa retraite avec impatience, surtout après cette dure année. Je pense que vous pourrez reprendre son poste Monsieur Dupoteau. Certes, vous êtes bien jeune, mais vos qualifications sont bien trop grandes pour ne pas accepter cette demande d'emploi. »

Ce fut parfait pour George. Il avait toujours préféré les potions dans tous les cours qu'il avait eu à Poudlard, alors pratiquer cet art tout le long de l'année l'avait plutôt enchanté sur le coup. Malheureusement, il s'avéra qu'il n'était pas très doué avec les enfants et les adolescents. Encore une fois, il recommença avec son immaturité débordante, et son goût de taquiner les autres que ce soit ses élèves bien trop irrespectueux avec lui, ou bien ces collègues n'approuvant pas vraiment les méthodes du jeune professeur qu'il était devenu. Après tout, c'était l'un des professeurs les plus jeunes de l'Histoire. C'était étrange d'être le collègue de ses anciens professeurs et c'était tout aussi étrange d'enseigner à des anciens camarades, et surtout à celui qui venait de détruire pour de bon Celui-Dont-On-Ne-Prononçait-Pas-Le-Nom.
George n'aimait pas spécialement les manières des adolescents, mais aimait son travail bien payé, où il était logé gratuitement et mangeait à l'œil. Il était tout aussi heureux de pouvoir laisser libre court à son imagination de grand enfant à Poudlard comme il le faisait autrefois, lorsqu'il n'était encore qu'un élève.
Une nouvelle année à Poudlard, les années avaient passé si vite... George avait à présent 45 ans, et était encore le fougue professeur célibataire et immature de ses jeunes années. Comment allait se passé cette rentrée 2020 en classe de Potions, et surtout qu'allait-il faire endurer à Rita Skeeter et à ses collègues cette année ? ...

Physique ”

« Ne me regardez pas comme ça ! Je sais très bien que je suis un sacré beau gosse, mais vous me gênez là. »

Je me trouve pas mal lorsque je regarde les vieilles photos de moi lorsque je n'étais qu'un simple petit élève de Poudlard, mais je me trouve bien plus sexy depuis mes 40 ans ! Euh... je veux dire que je suis quand même bien conservé non ? ... Voyons ! Dans 5 ans, j'aurai 50 ans, et pourtant, les cheveux châtain foncé sont toujours en majorité sur mon crâne, coiffés d'une façon plutôt désordonné d'ailleurs malgré qu'ils soient bien courts... Bon, je ne compte pas ma pilosité de 3jours toujours présente sur mon visage du matin au soir qui était bien sûr bien grise, mais ça me donne un air sérieux, vous ne trouvez pas ? Bref... oublions ça...
Si je vous parle de mes yeux, vous allez quand même en penser que du bien hein ? Oui, là, je ne peux pas ne pas me venter. Je possède de beau yeux d'un bleu intense assez rare. En tous cas, je n'en avais jamais vu d'autre que les miens, à part ceux de mon père bien sur... Même si je les tiens de lui, j'en suis assez fier. Je ne peux nier le contraire, et vous ?
Si l'on oublie mes rides apparentes dues à mon âge, je ne trouve pas mon visage spécialement dur vis à vis de ses traits. Regardez mon nez par exemple ! Il est ni trop long, ni trop petit, ni bossu, ni tombant, ni trop gros, et ni trop fin. J'ai un nez de mannequin ! Oui d'accord... pas de quoi s'émoustiller. C'est juste un nez après tout, mais je pense réellement que si il était autrement, mon charme n'aurait pas été le même, car malgré mon âge avancé, j'avais un certain impacte chez les femmes.
Pour parler d'autre chose que de mon visage, je suis plutôt grand comme homme. Certes, je ne suis pas un géant, mais au moins je suis plus grand que la grande majorité des femmes. Celles qui me dépassent sont des demi-géante, ou bien elles sont bien plus grandes que la moyenne. Au niveau de mon poids et de ma corpulence, j'ai bien sûr perdu la musculation de mes 20 ans, mais j'ai gardé un physique fin par rapport aux autres hommes s'approchant de la cinquantaine, et un reste de cette musculation perdue est toujours apparente, surtout sur mes bras, et beaucoup moins sur mes abdominaux.
Du côté vestimentaire, j'ai gardé de vieilles habitudes du Né-Moldu que je suis. J'ai depuis toujours montré que je ne suis pas originaire du monde des sorciers. Je ne suis ni fier, ni honteux vis à vis de mes origines, mais c'est juste que je me trouve bien plus classe et séduisant avec un jean, un Tee shirt, une veste de costard, et des chaussures de sports. Avec une robe de sorcier je trouve que j'ai l'air totalement ridicule. Certes, vis à vis des moldus, je n'ai pas le sens de la mode ni du bon goût, mais je me trouve à l'aise comme ça. On peut ajouté que ma baguette en caché dans un canne en bois. J'en ai pas spécialement besoin, mais je préfère ça que de la cacher je ne sais où lorsque je suis à vu des moldus. Puis... encore une fois ça renforce mon côté Né-Moldu.
En conclusion, certes je suis vieux, mais un vieux plutôt canon non ?

Dernière édition par George Dupoteau le Sam 22 Oct - 21:59, édité 2 fois